La lettre rappelle tout d'abord que les politiques agressives de l'Arménie depuis les années 1990 ont conduit à l'occupation de 20 % des terres de l'Azerbaïdjan, au déplacement d'un million de personnes de leur terre natale et à la perpétration de crimes horribles contre le peuple azerbaïdjanais, dont le plus flagrant a été le génocide de Khojaly. La lettre fait également référence à la victoire de l'Azerbaïdjan en 2020 et à son succès dans la récupération de ses territoires et la fin de l'occupation, en dépit des graves violations commises par l'Arménie contre le peuple azerbaïdjanais, notamment le bombardement de villes avec des missiles et des munitions interdites, provoquant ainsi la mort de nombreux civils et la destruction de milliers d'installations.

La lettre souligne également l'engagement des forces azerbaïdjanaises en faveur du droit humanitaire international et indique que le pays traverse actuellement une phase de reconstruction à grande échelle dans les zones libérées, avec le retour de plus de 50.000 personnes déplacées sur leurs terres, cela malgré la menace constante des mines terrestres, qui ont tué et blessé des centaines de personnes.

En outre, la lettre souligne également les efforts de l'Azerbaïdjan pour parvenir à une paix durable en présentant les cinq principes clés de la normalisation des relations avec l'Arménie, qui ont abouti à la conclusion d'un traité de paix à Washington sous les auspices de l'administration américaine, ce qui ouvre de nouvelles perspectives pour la stabilité et la coopération régionales dans le Caucase du Sud.

14 octobre 2025