Les deux délégations ont examiné en détail la situation critique dans la bande de Gaza et les conflits incessants dans les autres régions des territoires palestiniens occupés. Elles ont dénoncé l'agression impitoyable et brutale perpétrée par la machine de guerre sioniste. Cet assaut brutal, qui vise la population palestinienne désarmée - composée d'enfants, de femmes et de personnes âgées - s'étend à la destruction systématique de résidences, d'écoles, d'hôpitaux, de lieux saints et d'infrastructures essentielles. Tout cela se déroule dans un silence international troublant.
Les deux parties condamnent fermement et sans équivoque la guerre génocidaire menée par l'entité occupante et ses gouvernants, laquelle constitue un crime de guerre flagrant. Les délégations algérienne et tunisienne implorent les médias mondiaux de faire preuve de neutralité et d'objectivité dans la diffusion des informations relatives aux crimes atroces commis contre le peuple palestinien par l'occupant sioniste.
Les deux parties condamnent fermement les positions adoptées par les États et les organisations qui soutiennent les crimes de guerre israéliens. Ils dénoncent également la pratique flagrante du "deux poids, deux mesures", en contradiction flagrante avec le droit international et les droits de l'homme, notamment en ce qui concerne la protection des civils en période de conflit.
Affirmant la légitimité de la lutte des Palestiniens contre l'occupation, la déclaration commune souligne le droit inaliénable du peuple palestinien à établir un État indépendant, dont la capitale est Al-Quds Al-Charif.
En outre, les deux parties condamnent l’inaction répréhensible des organisations parlementaires internationales. Elles dénoncent fermement les déclarations irresponsables du président de l'Union Interparlementaire, Duarte Pacheco, qui s'est aligné sur l'occupation sioniste, renonçant ainsi à la neutralité que lui confère son rôle au sein de cet organe parlementaire international.
Le 25 Octobre 2023
Consulter le texte intégral en arabe, ici