Président de l’Assemblée Nationale Algérienne: Élaboration d’une Stratégie de l’UPCI Compatible avec l’Esprit de l’Epoque

Président de l’Assemblée Nationale Algérienne: Élaboration d’une Stratégie de l’UPCI  Compatible avec l’Esprit de l’Epoque

Dans son entretien avec l’UPCI, S.E.M. Ibrahim Boughali, Président de l’Assemblée populaire Nationale d’Algérie, a abordé plusieurs questions importantes pour le monde islamique. L’interview s’est concentrée sur la dynamisation de l’action islamique conjointe ; l’évolution de la Cause Palestinienne; défis de la modernisation et du développement ; système de santé africain ; la migration des pays pauvres ; et les répercussions changement climatique. Voici le texte de l’interview:

UPCI :  le Slogan de la 17ème session de la Conférence de l’UPCI est « Le monde islamique et les enjeux de la modernisation et du développement», et le rôle des Parlements dans la réalisation de cette aspiration et de cet espoir. Alors comment les Parlements peuvent-ils faire de la modernité et du développement une réalité concrète à travers le processus législatif ?
S.E.M. Boughali: Premièrement, il convient de préciser que le Parlement, en plus d’être une institution officielle et l’un des outils publics de l’État, se caractérise par le fait qu’elle prend racine de la société tout en étant étroitement lié à celle-ci , il doit donc toujours être au centre des intérêts et des aspirations des sociétés, et puisque l’interdépendance entre modernisation et développement est étroite, de sorte qu’on ne peut imaginer l’un sans l’autre, Définir clairement et sans équivoque les concepts et faire avancer ces enjeux, sont des responsabilités qui incombent principalement aux Parlements.

Il incombe donc aux États islamiques d’avoir leurs propres approches pour répondre aux enjeux de modernité et de développement qui reposent sur des fondements et des principes issus de leurs religions, de leurs valeurs culturelles et civilisationnelles, considérant que le véritable développement et la modernité doivent être le miroir qui reflète l’identité de la société, c’est-à-dire mettre des composants matériels au service de l’avancement de la science, de la technologie et des connaissances acquises, et adapter consciemment les diverses dispositions de la modernité sans immersion totale dans les valeurs étrangères qui nous sont parfois imposées, et sans préjudice des fondamentaux de notre identité et de notre croyance islamiques. Les Parlements, considérés comme les institutions les plus ouvertes et les plus interactives avec les sociétés, ont d’abord la responsabilité de faire prendre conscience, sur le plan informationnel, culturel et même religieux, de l’importance d’ériger cette immunité idéologique à travers laquelle il est possible de passer au crible les idées qui nous viennent, et mettre à niveau les enjeux que nous imposent la modernité et le développement.

Prenons l’exemple d’Algérie, l’Algérie a fait de la modernité l’une des plus remarquables enjeux de développement, aux différents niveaux économique, culturel et humain. Le Parlement algérien s’est tenu au courant de cette orientation, tant au niveau des textes concluant le jumelage de la modernité et du développement dans la promulgation de différentes lois qui ont été examinées et ratifiées dans diverses secteurs, qu’au niveau pratique en se souciant de prendre en compte les outils et les objectifs du développement au sein de la législation et d’action de control que le Parlement doit assumer et ce , en préservant l’essence même de la nation algérienne, son identité sous trois dimensions Islamique, arabe et Amazigh
 

UPCI :Lors de la première Conférence des Présidents et chefs de Parlements Africains, qui a été accueillie à Abuja, Capitale de la République Fédérale du Nigeria, les 9 et 10 mai 2022, vous avez souligné la nécessité de préparer un système de santé en Afrique visant à faire face aux épidémies et pandémies telles que la pandémie de Covid-19, grâce à une stratégie spécifique. Pouvez-vous, Excellence, developer davantage la stratégie à laquelle vous avez fait reference, compte tenu de son importance pour le continent africain ?
S.E.M. Boughli :
Il faut rappeler d’emblée que les leçons tirées de cette pandémie comprennent l’importance du développement scientifique des sociétés et du contrôle des technologies de l’époque, ainsi que l’importance de bâtir des économies nationales fortes. Ainsi, la stratégie africaine approuvée en vue de préparer un système de santé capable de faire face aux épidémies et pandémies s’est construite sur plusieurs éléments et initiatives qui peuvent se cristalliser dans des législations et des interventions.
Le premier volet de cette stratégie repose sur le renforcement des structures de santé dans les pays africains et sur la recherche scientifique dans le domaine de la santé. Lors de la rencontre, on a souligné la nécessité de soutenir et d’investir intensivement dans le secteur de la santé, y compris la réhabilitation de ses infrastructures et la relance de la production de vaccins localement, en mettant l’accent sur la recherche scientifique et la qualification des scientifiques en vue de relever des défis similaires à l’avenir.
 

Quant au deuxième volet, il s’est concentré sur les travailleurs du secteur de la santé, que ce soit médecins, infirmières, techniciens et autres personnes en rapport à ce secteur, et a souligné la nécessité d’être conscient de toutes leurs nécessités, y compris la promulgation de lois d’encouragement et d’incitation, pour leur permettre d’accomplir leur travail dans les meilleures conditions et d’éviter leur émigration à l’étranger. J’ouvre ici une parenthèse pour aborder le problème de la fuite des cerveaux dont souffre l’Afrique ainsi que la plupart des Etats du Tiers-Monde, et qui constitue l’un des défis les plus importants auxquels il faut faire face. La majorité des chercheurs et médecins éminents qui travaillent dans les plus grands centres de recherche et de milieux hospitaliers du monde viennent d’Afrique et des régions arabes. Beaucoup d’entre eux ont reçu leur éducation dans leur pays d’origine, l’Algérie en est le meilleur exemple. Par conséquent, il est nécessaire de trouver une solution urgente et efficace pour mettre fin à cet épuisement des énergies humaines et permettre à nos pays d’en bénéficier.
 

Quant au troisième volet de la stratégie africaine, il s’est concentré sur les aspects financiers et économiques, puisqu’il appelait à la mise en place de fonds d’urgence dans le cadre des lois de finances pour affronter, prévenir et prendre en charge tout cas exceptionnel d’épidémies et crises similaires. , et a également appelé à soutenir les économies nationales avec la promulgation des lois qui garantissent la protection des entreprises et des institutions nationales ainsi que des lois de nature fiscale. Il réduit les frais et les dettes dues, stimule les investissements et protège les emplois, et comprend également d’autres mesures qui relèvent du même contexte, tels que le renforcement de l’agriculture locale, la maîtrise de la chaîne alimentaire et le développement d’industries connexes pour soutenir la sécurité alimentaire, tout en travaillant à la création d’un stock stratégique de matières premières renouvelables de manière régulière en plus du soutien social et des lois et mesures en faveur des groupes vulnérables, ainsi que les professions les plus touchées, comme le secteur des transports et du tourisme, et des investissements urgents dans les technologies modernes, l’intelligence artificielle et la numérisation pour sécuriser le flux de travail et les échanges commerciaux même en quarantaine et fermeture des frontières.

On sait que cette stratégie africaine a souligné l’importance d’inclure la dimension climatique et ses impacts dans toutes les stratégies et lois et a mis l’accent sur l’extension du soutien et la participation effective des femmes et des jeunes dans les diverses initiatives, et pour leur contribution à la relance de l’économie ainsi que la diversification des sources de financement.
UPCI: Le monde assiste aujourd’hui au recul de la pandémie du Coronavirus, alors comment envisagez-vous redynamiser l’action islamique commune dans le cadre de l’Union parlementaire des États membres de l’OCI ?
S.E.M. Boughali: La pandémie de coronavirus a constitué l’un des défis les plus importants auxquels sont confrontés les êtres humains et a eu un impact considérable sur les activités de l’UPCI, ainsi que sur l’action islamique commune. Nonobstant ses effets, la pandémie a mis en lumière de merveilleuses valeurs de solidarité, de fraternité et d’altruisme. Dans ce contexte, je salue les initiatives et les efforts de l’UPCI pour faire face à la pandémie et aider les pays musulmans moins développés. Je salue également les efforts colossaux déployés par certains Etats, dont l’Algérie.

Il convient de noter que la crise de la pandémie de coronavirus a révélé des lacunes dans notre action islamique commune et nous a mis devant le fait que bon nombre des objectifs auxquels nous aspirions n’ont pas été atteints, et qu’il y a de grands défis et des développements rapides auxquels nous sommes confrontés, et qu’aucun pays ne peut faire face ou résister seul devant lui. Cela nous amène, en tant que Oumma islamique, à travailler avec diligence, à un rythme plus rapide et, à apporter des révisions sérieuses dans l’approche, le programme et les outils, et à introduire des réformes profondes qui transforment l’UPCI à un instrument efficace d’action commune au niveau parlementaire, et de contribuer efficacement à la réalisation de la solidarité islamique et de soutenir et accompagner ce que les gouvernements font à cet égard et ce à quoi aspirent les peuples islamiques.

À partir de là, il s’avère indispensable de développer une stratégie pour l’Union, fondée sur une nouvelle approche compatible avec l’esprit de l’époque et les défis y relatifs qui en découlent, permettant à nos Organisations de réaliser une plus grande percée sur la scène internationale dans le but de prendre soin des intérêts de la Oumma islamique et de défendre ses causes à la lumière des diverses expériences et leçons tirées de ce qu’elle a vécu. Tel est précisément l’objectif fondamental de la 17ème Conférence que l’Algérie accueille. C’est aussi le motif essentiel du choix de sa devise : «Le monde islamique et les enjeux de la modernisation et du développement.». Le facteur économique et son importance dans la promotion et la dynamisation de l’action politique et la construction de liens plus solides entre les peuples ne peuvent être négligés. Par conséquent, l’UPCI doit se concentrer sur la phase post-Covid-19, sur le développement de la coopération économique entre pays islamiques, et la préparation d’un terrain plus approprié pour un bloc islamique économique qui sera un pilier de l’UPCI.   

UPCI : Bien que la Cause Palestinienne ait commencé au cours du siècle dernier, le peuple palestinien en difficulté est toujours en proie d’injustice les plus cruels, et les fidèles musulmans se voient refuser, où les fidèles musulmans se voient refuser l’accès à la mosquée Al-Aqsa, la première Qibla et troisième des sanctuaires, pour accomplir leurs rituels de leur religion islamique en raison en raison de l’oppression des autorités d’occupation israéliennes. Comment votre Excellence considère-t-elle le rôle de l’UPCI dans la réalisation d’une plus grande solidarité mutuelle entre les Parlements membres afin de soutenir la lutte légitime du peuple palestinien sans défense ? 
S.E.M. Boughali: Tout d’abord, il convient de rappeler que la cause de la Palestine, et d’Al-Qods en particulier, était, et est toujours, la cause centrale de la Oumma islamique et de l’UPCI, et est considérée comme la condition sine qua non de l’existence de l’UPCI et la source de son unité et de sa force. Il est du devoir de tous les États musulmans et de leurs parlements dans ce contexte, de se coordonner et de coopérer dans les forums internationaux et régionaux afin d’apporter le soutien nécessaire, de défendre cette cause et de la remettre au premier plan, et de contrecarrer toutes les tentatives visant à la retirer de l’agenda international, à l’ombre des crises croissantes dont le monde est témoin aujourd’hui. C’est aussi de notre devoir d’affirmer l’importance d’Al-Qods en tant que partie intégrante du territoire palestinien tel qu’inscrit dans les conventions internationales, et de propager son essence religieuse et de faire face aux desseins de l’occupation en vue d’oblitérer l’identité de la ville et de changer ses caractéristiques.

Il est certain que la «Déclaration d’Alger» qui a été couronnée par l’unification des factions palestiniennes, a constitué une étape vraiment importante et constructive pour remettre la cause palestinienne au premier plan, une question qui s’est encore renforcée après le sommet arabe qui a été accueilli par l’Algérie, le premier novembre, surtout après avoir adopté la déclaration d’Alger et son initiative en faveur de l’unification du rang palestinien. Le devoir des parlementaires de tous les pays islamiques dans le cadre de l’Union est de soutenir cette cause et d’adopter la feuille de route que la Déclaration d’Alger a élaborée.

Ils doivent également soutenir la demande d’adhésion à part entière de la Palestine aux Nations unies, car cela constitue une forte poussée en faveur de la cause palestinienne et, exhorter la communauté internationale à assumer sa responsabilité vis-à-vis du peuple palestinien, en plus de fournir un soutien matériel et moral au peuple palestinien, et souligner que le maintien de la légitimité internationale par le biais d’une solution à deux États est la seule voie vers une paix durable et globale. A mon avis, l’UPCI est également appelée à assumer sa responsabilité  auprès des médias pour faire face au black-out qui est imposé à la souffrance du peuple palestinien, et démasquer les pratiques criminelles de l’occupation israélienne à Al-Qods ainsi que dans différentes régions palestiniennes, et exhorter les différentes forces défendant la paix et la fraternité entre les peuples, à faire preuve de solidarité avec ce peuple et son droit légitime à la résistance, à la vie et à l’établissement de son État indépendant.

UPCI : Des millions d’immigrés vivent dans des conditions difficiles après avoir été forcés de quitter leur pays d’origine à cause des conflits, des guerres, de la pauvreté et de la faim. Comment faire face à ce phénomène de migration et de déplacement, en particulier dans les pays les pays de l’UPCI ?
S.E.M. Boughali:
Traiter le phénomène de la migration et du déplacement et les complications concomitantes, n’est pas une simple affaire. On doit l’aborder sur des bases solides, dans un cadre approprié, et être mené avec une conception globale et intégrée qui devrait être pourvue de mécanismes de coopération et de recours à la sagesse.

Les pays de l’UPCI, comme d’autres pays, font face aux répercussions de la migration et du déplacement en tant que zones d’origine, de transit ou de destination,  et les conséquences de tout cela à différents niveaux, que ce soit en matière de sécurité (car le lien de ce phénomène parfois, malheureusement, avec le terrorisme, la criminalité organisée), ou les plans économique ou social voire sanitaire, nécessitent le déploiement d’efforts supplémentaires pour faire face à ce phénomène, que ce soit sur le plan international par le biais d’accords de coopération bilatéraux ou collectifs ; ou au niveau national par le biais d’un traitement juridique ou sécuritaire, et la création d’institutions compétentes en la matière, ainsi que la nécessité de prévention, de protection, de revalorisation et de traitement préventif des facteurs à l’origine de ce phénomène, qu’ils soient d’ordre sécuritaire, social ou de développement ; et que l’approche humanitaire doit être le principal déterminant dans la prise en charge des migrants et des personnes, d’une manière qui préserve leur dignité, tout en respectant les droits des États qui les accueillent en allégeant les fardeaux qui leur sont imposés par les vagues mondiales de déplacement et d’asile.

L’Algérie adopte une approche globale visant à éliminer les causes profondes de ces phénomènes qui sont essentiellement représentés par l’instabilité politique, les conflits, le terrorisme, le crime organisé transfrontalier, en plus de la pauvreté et du manque de développement, et d’autres facteurs. Cette prise en charge passe par la résolution de diverses crises et conflits par des moyens pacifiques et sans ingérences étrangères, et le renforcement du développement dans les régions défavorisées visant à aider leurs citoyens à s’installer, selon une conception équilibrée basée sur la coopération et la solidarité, tout en soulignant la nécessité de prendre en compte l’aspect humain dans le traitement des migrants et des réfugiés de manière à préserver leurs droits humanitaires et leur dignité. 

Et je considère cette approche comme la plus appropriée pour traiter les questions liées à la migration et au déplacement auxquelles sont confrontés les différents États membres de l’Union, et la nécessité d’agir pour inclure la dimension de la migration et des migrants dans les politiques de développement aux niveaux national et régional et d’œuvrer à l’adoption de politiques susceptibles d’aborder et de bien gérer la migration, tout en renforçant la coopération entre les pays de destination et de transit d’une part et les pays d’origine d’autre part, en initiant des projets de développement économique structurant qui contribuent à la sédentarisation de la population, en assurant les services de base dans ces régions, ainsi que le renforcement de la formation et de la coopération afin d’accroître l’efficacité de l’administration locale pour répondre aux exigences du développement.

De plus, il y a un autre enjeu non moins important, c’est-à-dire la nécessité de ne pas considérer la migration uniquement sous l’angle de la souffrance et des dures conditions humanitaires des migrants ; mais il y a aussi une autre dimension dans cette problématique concernant les personnes vivant à l’étranger pour lesquelles les Etats de l’UPCI devraient avoir une politique particulière à leur égard, visant à les encourager à en tirer profit, et à faire face au phénomène de fuite des cerveaux.
 

UPCI :La Déclaration d’Alger adoptée par la 47ème Réunion du Comité Exécutif de l'UPCI, qui a été accueillie par votre auguste Parlement, a affirmé la nécessité de la coopération entre les Parlements Membres pour aborder la question du changement climatique. Comment envisagez-vous la possibilité de concrétiser cet objectif ?
S.E.M. Boughali:
L’Algérie a été l’une des premières à ratifier tous les accords sur le climat et a pris plusieurs mesures pour faire face au changement climatique, que ce soit en incluant des dispositions constitutionnelles pour protéger l’environnement ou en créant un conseil économique, social et environnemental dont les missions sont de proposer des solutions aux problèmes environnementaux et d’apporter des réponses, conseil concrètes ou autre, et la meilleure preuve de son intérêt pour cette question, c’est la participation du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, au sommet des dirigeants mondiaux à la Conférence des Parties à la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques ( COP-27) à Charm el-Cheikh, République arabe d’Égypte ; et le Parlement algérien, conformément à ces tendances, a contribué efficacement au renforcement de l’arsenal juridique et à l’adaptation de la législation nationale relative aux changements climatiques et environnementaux à la conjoncture actuelle. Il avait l’intention, à son initiative, de créer un réseau parlementaire sur l’environnement et le climat, dans lequel il a permis la représentation, même d’anciens députés, dans le but de contribuer à trouver des solutions et des propositions qui aident à faire face à ce défi.

Le Parlement a également pris part au Forum parlementaire sur les changements climatiques organisé par le Parlement Climatique, en novembre dernier à Louxor (République arabe d’Égypte). À mon avis, les parlements de l'UPCI doivent se tenir au courant des efforts du groupe international sur le changement climatique et ses impacts négatifs. Cela devrait être un pivot essentiel pour atteindre les Objectifs du Millénaire pour le Développement, et suivre les politiques gouvernementales visant à s’adapter au changement climatique, et agir pour la participation de toutes les catégories de la société pour faire face à ses effets, tout en étant soucieux de l’apport des lois approuvées, au renforcement des capacités nationales de gestion durable de l’environnement et de protection du climat.

Contribuer également à l’élaboration de plans et de stratégies nationaux fondés sur des politiques environnementales saines, en plus de la sensibilisation et de la formation d’une forte volonté politique de pression dans le sens du soutien et de l’encouragement des sources d’énergie renouvelables et de la préservation des forêts. Une coordination étroite entre les Parlements des différents Etats est un impératif indispensable dans ce domaine. L’UPCI doit avoir ses propres visions et initiatives en vue de créer des cadres plus larges de coopération et de coordination entre les Parlements membres à cet égard. *

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